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3 février 2007 6 03 /02 /février /2007 23:38

C'est un film plein d'émotions que je viens de voir.

 

La vie difficile d'un homme  qui élève seul son garçon, il n'a pas d'argent, plus de maison et il doit se battre tous les jours pour rester digne.

Will Smith est bien loin de Men in black, de part son jeu sobre et son look afro. Il forme un couple parfait avec le jeune acteur qui est son fils aussi dans la vie. Ils nous touchent, et le film a su provoquer cette émotion par d'autres petits trucs, comme le "rubicube" ou encore l'affiche de ragging bull que l'on voit sur le taxi.

Will Smith et Jaden Smith. Gaumont Columbia Tristar Films

Ce qui m'a frappé c'est qu'il a toujours sur lui sa machine médicale, il la porte tel un fardeau et qu'il court très souvent après, car cette machine c'est son gagne pain.



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3 février 2007 6 03 /02 /février /2007 23:15

 

Le sujet du film était intéressant :Un chauffeur et sa femme, domestique qui tiennent une grand place dans la vie de leurs patrons. C'est amusant de voir comment ils ont le dessus sur eux, et puis  quand on a compris le principe du film on se lasse. Le film s'éternise et seul le jeu des comédiens ressort.

Sabine Azéma est excellente comme d'habitude, et Gérard Depardieu aime à se ridiculiser (comme il le fait souvent maintenant).

C'est à grâce à eux deux que j'ai beaucoup ri



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31 janvier 2007 3 31 /01 /janvier /2007 23:15

Il y a les acteurs chanteurs,

Trois petites notes de musique
Ont plié boutique
Au creux du souvenir
C'en est fini de leur tapage
Elles tournent la page
Et vont s'endormir

Mais un jour sans crier gare
Elles vous reviennent en mémoire

Toi, tu voulais oublier
Un p'tit air galvaudé
Dans les rues de l'été
Toi, tu n'oublieras jamais
Une rue, un été
Une fille qui fredonnait

La, la, la, la, je vous aime
Chantait la rengaine
La, la, mon amour
Des paroles sans rien de sublime
Pourvu que la rime
Amène toujours

Une romance de vacances
Qui lancinante vous relance

Vrai, elle était si jolie
Si fraîche épanouie
Et tu ne l'as pas cueillie
Vrai, pour son premier frisson
Elle t'offrait une chanson
A prendre à l'unisson

La, la, la, la, tout rêve
Rime avec s'achève
Le tien n'rime à rien
Fini avant qu'il commence
Le temps d'une danse
L'espace d'un refrain

Trois petites notes de musique
Qui vous font la nique
Du fond des souvenirs
Lèvent un cruel rideau de scène
Sur mille et une peines
Qui n'veulent pas mourir

Ce soir mon petit garçon
Mon enfant, mon amour
Ce soir, il pleut sur la maison
Mon garçon, mon amour
Comme tu lui ressembles!
On reste tous les deux
On va bien jouer ensemble
On est là tous les deux
Seuls

Ce soir elle ne rentre pas
Je n'sais plus, je n'sais pas
Elle écrira demain peut-être
Nous aurons une lettre
Il pleut sur le jardin
Je vais faire du feu
Je n'ai pas de chagrin
On est là tous les deux
Seuls

Attend, je sais des histoires
Il était une fois
Il pleut dans ma mémoire
Je crois, ne pleure pas
Attends, je sais des histoires
Mais il fait un peu froid, ce soir
Une histoire de gens qui s'aiment
Une histoire de gens qui s'aiment

Tu vas voir
Ne t'en vas pas
Ne me laisse pas

Je ne sais plus faire du feu
Mon enfant, mon amour
Je ne peux plus grand-chose
Mon garçon, mon amour
Comme tu lui ressembles!
On est là tous les deux
Perdus parmi les choses
Dans cette grande chambre
Seuls

On va jouer à la guerre
Et tu t'endormiras
Ce soir, elle ne sera pas là
Je n'sais plus, je n'sais pas
Je n'aime pas l'hiver
Il n'y a plus de feu
Il n'y a plus rien à faire
Qu'à jouer tous les deux
Seuls

Attends, je sais des histoires
Il était une fois
Je n'ai plus de mémoire
Je crois, ne pleure pas
Attends, je sais des histoires
Mais il est un peu tard, ce soir
L'histoire des gens qui s'aimèrent
Et qui jouèrent à la guerre

Ecoute-moi
Elle n'est plus là
Non... ne pleure pas... !

Un oranger sur le sol irlandais,
On ne le verra jamais.
Un jour de neige embaumé de lilas,
Jamais on ne le verra.
Qu'est ce que ça peut faire ?
Qu'est ce que ça peut faire ?
Tu dors auprès de moi,
Près de la rivière,
Où notre chaumière
Bat comme un cœur plein de joie.

Un oranger sur le sol irlandais,
On ne le verra jamais.
Mais dans mes bras, quelqu'un d'autre que toi,
Jamais on ne le verra.
Qu'est ce que ça peut faire ?
Qu'est ce que ça peut faire ?
Tu dors auprès de moi.
L'eau de la rivière,
Fleure la bruyère,
Et ton sommeil est à moi.

Un oranger sur le sol irlandais,
On ne le verra jamais.
Un jour de neige embaumé de lilas,
Jamais on ne le verra.
Qu'est ce que ça peut faire ?
Qu'est ce que ça peut faire ?
Toi, mon enfant, tu es là !

C'est dans un coin du bois d'Boulogne
Que j'ai rencontré Félicie
Elle arrivait de la Bourgogne
Et moi j'arrivai en Taxi
Je trouvai vite une occasion
D'engager la conversation

Il faisait un temps superbe
Je me suis assis sur l'herbe
Félicie aussi
J'pensais les arbres bourgeonnent
Et les gueules de loup boutonnent
Félicie aussi
Près de nous sifflait un merle
La rosée faisait des perles
Félicie aussi
Un clocher sonnait tout proche
Il avait une drôle de cloche
Félicie aussi

Afin d'séduire la petite chatte
Je l'emmenai dîner chez Chartier
Comme elle est fine et délicate
Elle prit un pied d'cochon grillé
Et pendant qu'elle mangeait le sien
J'lui fit du pied avec le mien

J'pris un homard sauce tomates
Il avait du poil au pattes
Félicie aussi
Puis une sorte de plat aux nouilles
On aurait dit une andouille
Félicie aussi
Je m'offris une gibelotte
Elle embaumait l'échalotte
Félicie aussi
Puis une poire et des gaufrettes
Seulement la poire était blette
Félicie aussi

L'Aramon lui tournant la tête
Elle murmura " quand tu voudras "
Alors j'emmenai ma conquête
Dans un hôtel tout près de là
C'était l'hotêl d'Abyssinie
Et du Calvados réuni

J'trouvai la chambre ordinaire
Elle était pleine de poussière
Félicie aussi
Je m'lavai les mains bien vite
L'lavabo avait une fuite
Félicie aussi
Sous l'armoire y avait une cale
Car elle était toute bancale
Félice aussi
Y avait un fauteuil en plus
Mais il était rempli d'puce
Félicie aussi
Et des draps de toiles molles
Me chatouillaient les guiboles
Félicie aussi

Destinée,
On était tous les 2 destinés
A voir nos chemins se rencontrer
A s'aimer sans demander pourquoi
Toi et moi

Destinée,
Inutile de fuir ou de luter
C'est écrit dans notre destinée
Tu ne pourras pas y échapper
C'est gravé


L'avenir,
Malgré nous doit toujours devenir
Tous nos désirs d'amour inespérés, imaginés, inavoués
Dans la vie,
Aucun jour n'est pareil tu t'ennuies
Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément

Destinée,
Depuis longtemps j'avais deviné
Qu'à toi l'amour allait m'enchaîner
Quand je rencontrerai ton regard,
Quelque part,

Destinée,
Où es tu toi qui m'est destinée
Si jamais vous vous reconnaissez
Je voudrais vous entendre crier
M'appeler


Destinée,
Encore un fois le cœur déchiré
Je suis un clown démaquillé
Le grand rideau viens de se baisser
Sur l'été

Destinée,
On était tous les 2 destinés
A voir nos chemins se rencontrer
A s'aimer sans demander pourquoi
Toi et moi



Destinée,
On était tous les 2 destinés
A voir nos chemins se rencontrer
A s'aimer sans demander pourquoi
Toi et moi

Destinée
Inutile de fuir ou de luter
C'est écrit dans notre destinée
Tu ne pourras pas y échapper
C'est gravé

Destinée
Encore un fois le cœur déchiré
Je suis un clown démaquillé
Le grand rideau viens de se baisser
Sur l'été

C'est étrange,
Je n'sais pas ce qui m'arrive ce soir,
Je te regarde comme pour la première fois.

Encore des mots toujours des mots les mêmes mots
Je n'sais plus comme te dire,
Rien que des mots
Mais tu es cette belle histoire d'amour...
Que je ne cesserai jamais de lire.
Des mots faciles des mots fragiles
C'était trop beau
Tu es d'hier et de demain
Bien trop beau
De toujours ma seule vérité.
Mais c'est fini le temps des rêves
Les souvenirs se fanent aussi quand on les oublie
Tu es comme le vent qui fait chanter les violons
Et emporte au loin le parfum des roses.
Caramels, bonbons et chocolats
Par moments, je ne te comprends pas.
Merci, pas pour moi
Mais tu peux bien les offrir à une autre
Qui aime le vent et le parfum des roses
Moi, les mots tendres enrobés de douceur
Se posent sur ma bouche mais jamais sur mon coeur
Une parole encore.
Parole, parole, parole
Ecoute-moi.
Parole, parole, parole
Je t'en prie.
Parole, parole, parole
Je te jure.
Parole, parole, parole, parole, parole
Encore des paroles que tu sèmes au vent
Voilà mon destin te parler....
Te parler comme la première fois.
Encore des mots toujours des mots
Les mêmes mots

Comme j'aimerais que tu me comprennes.
Rien que des mots
Que tu m'écoutes au moins une fois.
Des mots magiques des mots tactiques
Qui sonnent faux
Tu es mon rêve défendu.
Oui, tellement faux
Mon seul tourment et mon unique espérance.
Rien ne t'arrête quand tu commences
Si tu savais comme j'ai envie
D'un peu de silence
Tu es pour moi la seule musique...
Qui fit danser les étoiles sur les dunes
Caramels, bonbons et chocolats
Si tu n'existais pas déjà je t'inventerais.
Merci, pas pour moi
Mais tu peux bien les offrir à une autre
Qui aime les étoiles sur les dunes
Moi, les mots tendres enrobés de douceur
Se posent sur ma bouche mais jamais sur mon coeur
Encore un mot juste une parole
Parole, parole, parole
Ecoute-moi.
Parole, parole, parole
Je t'en prie.
Parole, parole, parole
Je te jure.
Parole, parole, parole, parole, parole
Encore des paroles que tu sèmes au vent
Que tu es belle !
Parole, parole, parole
Que tu es belle !
Parole, parole, parole
Que tu es belle !
Parole, parole, parole
Que tu es belle !
Parole, parole, parole, parole, parole
Encore des paroles que tu sèmes au vent

Et puis les chanteurs acteurs,



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30 janvier 2007 2 30 /01 /janvier /2007 23:31

Certaines ont poussés ou poussent encore la chansonnette... :

J'ai touché le fond de la piscine
Dans le petit pull marine,
Tout déchiré aux coudes
Qu'j'ai pas voulu recoudre,
Que tu m'avais donné.
J'me sens tellement abandonnée.

Y a pas qu'au fond de la piscine
Que mes yeux sont bleu marine.
Tu les avais repérés
Sans qu'il y ait un regard
Et t'avais rappliqué.
Maintenant, je paie l'effet retard.

Avant de toucher le fond,
Je descends à reculons,
Sans trop savoir ce qui se passait dans le fond.

C'est plein de chlore au fond de la piscine.
J'ai bu la tasse, tchin tchin.
Comme c'est pour toi, je m'en fous.
Je suis vraiment prête à tout.
Avaler, que m'importe,
Si on me retrouve à moitié morte.

Noyée au fond de la piscine,
Personne ne te voyait
Sous mon petit pull marine,
M'enlacer, j't'embrassais
Jusqu'au point de non-retour,
Plutôt limite de notre amour.

Avant de toucher le fond,
Je descends à reculons,
Sans trop savoir ce qui se passait dans le fond.

Viens vite au fond de la piscine
Repêcher ta petite sardine,
L'empêcher de se noyer,
Au fond de toi, la garder,
Petite sœur traqueuse,


De l'air de ton air amoureuse.

Si nous deux, c'est au fond dans la piscine,
La deux des magazines
Se chargera de notre cas
Et je n'aurai plus qu'à
Mettre des verres fumés
Pour montrer tout ce que je veux cacher.



Retrouve-moi au fond d'la piscine
Avant qu'ça m'assassine
De continuer sans toi.
Tu peux compter sur moi :
J'te referai plus l'plan d'la star
Qui a toujours ses coups de cafard.

J'ai touché le fond de la piscine
Dans ton petit pull marine...

               

Elle avait des bagues à chaque doigt
Des tas de bracelets autour des poignets
Et puis elle chantait avec une voix
Qui sitôt m'enjôla…
On s'est connu, on s'est reconnu
On s'est perdu de vue, on s'est reperdu de vue
On s'est retrouvé, on s'est réchauffé,
Puis on s'est séparé     

Chacun pour soi est reparti
Dans l'tourbillon de la vie

 

   

        

  Marilyn peint sa bouche.
Elle pense à John,
Rien qu'à John.
Un sourire, puis un soupir,
Elle fredonne une... chanson

Ni triste, ni gaie,
Entre deux, trois... interviews
Et du swing qui mousse.
Dans son bain, c'est fou,
Marilyn chante son nom.
Elle s'invente des chansons
Sur le mariage d'une étoile et d'un lion.

Marilyn, amoureuse...
Elle appelle John... John.
De secrétaires en ministères,
Au téléphone, elle attend.
C'est un amour mystère,
Un secret d'état :
Marilyn change sa voix.
Elle s'invente des prénoms
Et le mariage d'une étoile et d'un lion.

Marilyn, amoureuse...
C'est l'histoire d'une étoile et d'un lion.

Elle s'invente des chansons
Sur le mariage d'une étoile et d'un lion...

élastique
gimmicks
je te réplique
du tac tac au tic

quand certains jours pour moi ça rigole pas des masses
devant ma glace
je me fais des grimaces

élastique
des gimmicks
un peu comme Mick
Jagger que je trouve comique

Elastique
Gimmicks
Informatique
Sur l'amour file-moi ta doc

J'suis élastique
Dans mes gimmicks
Maths et chimique
Pas louper mon bac

Quand certains jours pour moi ça rigole pas des masses
Devant ma glace
Je me fais des grimaces

Elastique
Des gimmicks
Oui j'ai des ticks
Et c'est pas du toc

Elastique
Gimmicks
J'aime la musique
Le funky le roll and rock

J'suis élastique
Dans mes gimmicks
Mais hélas tic
Je vois tout en toc

Elastique
Gimmicks
J'aime les comic
Strip aussi les clips

Quand certains jours pour moi ça rigole pas des masses
Devant la glace
Je me fais des grimaces

Elastique
Des gimmicks
J'ai trop de tact
Je manque de tactique

Elastique
Gimmicks
T'es qu'un pauv'mec
T'es malade t'faudrait un doc

Quand certains jours pour moi ça rigole pas des masses
Devant ma glace
Je me fais des grimaces

élastique
des gimmicks
un peu comme Mick
Jagger que je trouve comique

Elastique
Gimmicks
T'es qu'un pauv'mec
T'es malade t'faudrait un doc

        

       

Dieu est un fumeur de havanes
Je vois ses nuages gris
Je sais qu'il fume même la nuit
Comme moi ma chérie

Tu n'es qu'un fumeur de gitanes
Je vois tes volutes bleues
Me faire parfois venir les larmes aux yeux
Tu es mon maître après Dieu

Dieu est un fumeur de havanes
C'est lui-même qui m'a dit
Que la fumée envoie au paradis
Je le sais ma chérie

Tu n'es qu'un fumeur de gitanes
Sans elles tu es malheureux
Au clair de ma lune, ouvre les yeux
Pour l'amour de Dieu

Dieu est un fumeur de havanes
Tout près de toi, loin de lui
J'aimerais te garder toute ma vie
Comprends-moi ma chérie

Tu n'es qu'un fumeur de gitanes
Et la dernière je veux
La voir briller au fond de mes yeux
Aime-moi nom de Dieu

Dieu est un fumeur de havanes
Tout près de toi, loin de lui
J'aimerais te garder toute ma vie
Comprends-moi ma chérie

Tu n'es qu'un fumeur de gitanes
Et la dernière je veux
La voir briller au fond de mes yeux
Aime-moi nom de Dieu

        

    

Un garçon comme ça
Dit qu'une fille comme moi
Au style élégant
Mais qui marche pas droit
Les épaules en dedans
Le geste maladroit
Ca s'appelle comment ?

Une godiche ça s'appelle
Faut m'aimer sacrément
Pour trouver que godiche
Ca me va comme un gant

Un garçon qui conçoit
Qu'une moitié de fille comme moi
On ne s'en contente pas
C'est un tout ou c'est pas
Une fille simple qui l'est pas
Ca s'appelle comment ?

Une godiche ça s'appelle
Faut m'aimer sacrément
Pour trouver que godiche
Ca me va comme un gant
          

 Un garçon comme lui
Fait d'une fille comme moi
Tout et pas n'importe quoi
Même loin lui de moi
Je pleure plutôt de joie
De savoir qu'il est là
Et qu'il m'appelle comme ça

Sa godiche il m'appelle
Faut m'aimer sacrément
Pour trouver que godiche
Ca me va comme un gant

Sa godiche il m'appelle
Faut l'aimer sacrément
Pour trouver que godiche
Ca me va comme un gant

Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
que le ciel azuré ne vire au mauve
penser ou passer à autre chose
vaudrait mieux
fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
se dire qu'il y a over the rainbow
toujours plus haut le soleil above
radieux
croire aux cieux croire aux dieux
même quand tout nous semble odieux
que notre cœur est mis à sang et à feu

fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
comme une petite souris dans un coin d'alcôve
apercevoir le bout de sa queue rose
ses yeux fiévreux
fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
se dire qu'il y a over the rainbow
toujours plus haut le soleil above
radieux
croire aux cieux croire aux dieux
même quand tout nous semble odieux
que notre cœur est mis à sang et à feu

fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
avoir parfois envie de crier sauve
qui peut savoir jusqu'au fond des choses
est malheureux
fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
se dire qu'il y a over the rainbow
toujours plus haut le soleil above
radieux
croire aux cieux croire aux dieux
même quand tout nous semble odieux
que notre cœur est mis à sang et à feu

fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
dis-moi que tu m'aimes encore si tu l'oses
j'aimerais que tu te trouves autre chose
de mieux
fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
se dire qu'il y a over the rainbow
toujours plus haut le soleil above
radieux


Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer
Et la terre peut bien s'écrouler
Peu m'importe si tu m'aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu'l'amour inond'ra mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m'importe les problèmes
Mon amour puisque tu m'aimes

J'irais jusqu'au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J'irais décrocher la lune
J'irais voler la fortune
Si tu me le demandais

Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n'importe quoi
Si tu me le demandais

Si un jour la vie t'arrache à moi
Si tu meurs que tu sois loin de moi
Peu m'importe si tu m'aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l'éternité
Dans le bleu de toute l'immensité
Dans le ciel plus de problèmes
Mon amour crois-tu qu'on s'aime
Dieu réunit ceux qui s'aiment



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28 janvier 2007 7 28 /01 /janvier /2007 22:33

Désormais, quand un client sort sans achat nous devons lui poser la question suivante : Vous cherchiez quelque chose de particulier ? ou Vous n'avez pas trouvé ce que vous cherchiez ?

Ma responsable nous l'avez déjà demandé, mais nous le faisions pas, mais maintenant le Directeur nous l'a de nouveau soumis.

Le fait même de poser la question pose souvent des problèmes:

- Le client est pressé et il continu son chemin sans nous avoir entendu.

- le client nous répond  un NON absolu (en fait il ne veut pas être dérangé)

- le client nous précise alors qu'il n'a pas trouvé tel produit dans tel rayon.

Dans ce dernier cas, nous devons l'inscrire sur un cahier pour pouvoir voir avec le responsable du rayon concerné.

Cela permet de cibler les manques et d'améliorer les besoins dans notre magasin. 

C'est très bien, mais en même temps  nous devons continuer de répondre au téléphone, aux vendeurs, de reprendre les articles des clients devant le comptoir, de faire les paquets cadeaux, de se déplacer en caisse pour les remises, etc................

Bref, cela fait encore une chose de plus !

  



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28 janvier 2007 7 28 /01 /janvier /2007 22:16

C'est l'histoire d'un gars  qui reste toujours polis et gentils malgrè tous les petits soucis qui lui arrivent. Il pense que c'est normal, mais DU JOUR AU LENDEMAIN, tout va bien,  alors il est heureux un certain temps puis il ne trouve plus ça normal du tout et ça le pertube beaucoup.

Benoît Poelvoorde. Mars Distribution Avant l'employé de Banque avec son petit bureau minable.

Benoît Poelvoorde. Mars Distribution   Après, François Berthier heureux, la vie lui sourit.

Rufus. Mars Distribution Cremer, alias Rufus, le gardien de la banque qui se lie d'amitié avec François Berthier alias Benôit Poelvoorde.

J'ai apprécié ce film, Benôit Poelvoorde n'en fait pas trop et Rufus est excellent. Le sujet de l'histoire est intéressant.

  



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24 janvier 2007 3 24 /01 /janvier /2007 23:12

J'ai beaucoup aimé cet épisode de la série Louis Page (que je regarde quelquefois).

Les acteurs, Frédéric Van Den Driesshe, Laurent Malet et Anthony Delon  jouaient bien .Il y avait beaucoup de seconds rôles qui avaient leur importance, comme le boulanger ou la soeur de l'ami du prêtre.

Le sujet était l'homosexualité chez les prêtres, pas simple, cependant le film a évité la caricature.

 



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22 janvier 2007 1 22 /01 /janvier /2007 22:16

J'ai trouvé ce film terrifiant au début, parce qu'on voit les fanatiques préparer calmement mais sûrement leur diabolique projet.Ensuite c'est assez long et on nous "balance" d'une base à une autre en montrant les officiers, les  militaires...  bien impuissants.

Et puis "ils" attaquent, mais je n'ai pas ressentie cette frayeur que j'avais au début du film.Peut-être parceque je connaissais la  fin  tragique.

 



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22 janvier 2007 1 22 /01 /janvier /2007 21:05
Nous sommes à 50 cartes réalisées  et il nous  en reste encore 20 pour atteindre notre objectif  (voir article janvier 2007 : 70). Ca se précise.

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22 janvier 2007 1 22 /01 /janvier /2007 21:02

J'ai deux clients qui m'ont pris la tête  aujourd'hui :

Le premier un "pauvre" monsieur qui ne parlait pas très bien, qui  en avait à peu près pour 30 euros d'achat. Il venait me demander d'encaisser son chèque à la fin du mois. Ca nous arrive de le faire mais pour des grosses sommes, et dans ce cas on encaisse une moitié et l'autre partie l'autre mois. Mais pour 30 euros je n'ai pas pu lui dire oui. Il était bien embêté et il est resté un moment devant le comptoir,de cette façon je me suis senti vraiment coupable de lui avoir dit non ! Finalement il quitte le magasin. Au moins une heure après je le vois revenir avec ces articles, et il me dit "vous pouvez prendre le chèque, mais vous mettrez mon n° de téléphone derrière, comme  ça, si il y a un problème vous pourrez m'appeler!" Alors je lui ai dit oui pour qu'il se sente soulagé et puisse profiter de ses achats tranquillement.

Mais vraiment il m'a fait pitié ce client et j'espère que son chèque ne reviendra pas impayé.

La deuxième cliente revient avec un mini radiateur soufflant et me dit que son appareil est en panne. Elle n'a pas son ticket mais à conservé son ticket carte bleue : 17,10 euros le 02 janvier 2007 à 17h55. Je m'en rapelle bien car j'ai bien retrouvé ce ticket, d'ailleur il n'y en avait qu'un avec cette somme ,ce jour et cette heure mais sur le ticket il n'y avait pas de radiateur !

La cliente m'a assuré que c'était ce ticket carte bleue  et moi je continuais de lui assurer que ce ne pouvait pas être possible. Elle est restée aussi un petit moment au comptoir, je me suis occupée alors d'autres clients, et au moment de regarder dans sa direction elle avait disparu sans un mot !

Je suis sûre qu'elle s'est rappelée que ce n'était pas ce ticket et qu'elle a préferé s'eclipser que de me l'avouer !  

 



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